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Par Anonyme, le 03.07.2021
je me nomme corine âgée de 32 ans j'habite dans le 59139 wattignies . j'étais en relation
avec mon homme i
Par corine, le 26.08.2018
je me nomme christiana, j'habite riggargatan 16 d, galve ,80286, swe. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu su
Par Christiana, le 16.06.2018
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Par Christiana, le 16.06.2018
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Date de création : 15.08.2010
Dernière mise à jour :
19.12.2018
81 articles
Un projet éditorial
LE LONG SILENCE de ce blog est dû à la concrétisation récente d'un projet éditorial très sérieux qu'il aura fallu quelques années pour mener à bien.
En effet, les notes prises lors de différents séjours au Japon effectués au cours des quinze dernières années, avec leur lot d'entraînements, d'enthousiasmes, de déceptions, d'incertitudes, de découvertes, de révélations parfois, le tout assorti d'expériences liées à la vie quotidienne, ont été rédigées en bonne et due forme et feront l'objet d'une publication dans un avenir proche.
Et il a fallu débroussailler sérieusement! Certains passages ne pouvaient décemment pas être publiés. Mais il fallait que ceux qui méritaient de l'être le soient, et sans subir la moindre retouche, sans quoi ils n'auraient plus la valeur de l'instantané, du spontané, de l'écrit sorti non pas de la tête, mais du coeur, voire parfois du ventre lorsque, ayant absorbé en hâte un café glacé acheté sur le quai de la gare de Tôkyô, l'heure de voyage en train rapide était consacrée à la rédaction fébrile des impressions encore ressenties à fleur de peau, le corps et l'esprit tout encore échauffés des moments intenses vécus au Dôjô, le Dôgi encore tout fumant rangé dans le sac de sport posé sous le siège...
Mille fois revécues, ces aventures toujours bouleversantes figurent parmi les moments les plus intenses de toute l'existence. Il faut considérer comme un privilège, les années et les décennies passant, d'avoir pu, et de pouvoir encore les vivre avec la même intensité, en ressentant à chaque fois la magie de la fusion corps-âme-esprit, et bien sûr celle du Souffle sans lequel la vie ne serait rien!
Le Shinkansen (train ultra-rapide) glissait silencieusement sur les rails, traversant à folle allure les villes aux noms familiers puisqu'on les retrouve dans maints films et romans japonais classiques: Yokohama, Atami, Odawara, Fuji et sa légendaire montagne que l'on a à sa droite comme un paysage de Hokusaï; Mishima (la ville, pas l'écrivain) et enfin Shizuoka, "la Colline Calme", berceau de la famille par alliance chez laquelle l'accueil est toujours si chaleureux.
Le Budôka, on le sait, doit savoir oser. Oser pratiquer, oser essayer, oser se jeter à l'eau, sans quoi nul progrès n'est à espérer. Ainsi sera-t-il fait pour la publication de cet ouvrage: il faut vivre avec son temps, et ne pas le perdre en de vaines démarches auprès des éditeurs frileux qui, on peut les comprendre, ne sont jamais disposés à publier des récits martiaux qui n'intéressent qu'un public assez marginal.
Eh bien, l'auto-édition existe bel et bien, et elle permet dorénavant de donner forme à nos textes, sans grand investissement, en éditant juste la quantité nécessaire d'exemplaires. C'est désormais un droit d'exprimer des expériences qui pourront aider l'ami, l'élève, le novice, l'inconnu même, à saisir peut-être plus entièrement le pourquoi et le comment de l'Ascèse entamée, et dont on sait qu'elle ne prend fin qu'avec la vie du pratiquant.
Un homme qui a marqué l'Aïkidô
LE TITRE du présent article (qui n'a rien à voir avec le projet éditorial mentionné ci-dessus) est emprunté à un livre paru depuis un certain temps déjà, dont la lecture est très intéressante: "Métamorphose de la violence dans l'Aïkidô de Sumi-Kiri", de Jean-Daniel CAUHEPE.
Sumi-Kiri, littéralement "angles brisés" insiste sur la spirale et donc l'absence d'angles dans la pratique de l'Aïkidô; l'auteur a choisi ce nom pour qualifier son Ecole. Il fut le premier élève de Maître André NOCQUET, un homme qui a marqué son siècle en matière d'Aïkidô puisqu'il fut, avec beaucoup d'autres, le propagateur de cet Art qui avait complètement bouleversé sa vie.
Et l'on ne saurait accuser Maître NOCQUET d'être un naïf ou un homme léger!
Lutteur, puis Jûdôka (17ème Français à obtenir la ceinture noire de cet Art); prisonnier de guerre puis évadé, c'est à l'âge de 40 ans environ qu'il décida de partir au Japon muni des lettres de recommandation qui lui permirent d'accéder, privilège très rare à l'époque (nous sommes dans les années 50), à l'enseignement de Maître UESHIBA. Un Maître UESHIBA agé d'un peu plus de 70 ans, qui possède donc encore une forme physique étonnante et est visiblement au sommet de sa capacité en matière de Budô.
Les camarades de Dôjô d'André NOCQUET auront pour nom NORO, TAMURA, TADA; ses instructeurs, en plus du Maître-Fondateur, seront TÔHEI, et Kisshômaru UESHIBA.
Un maître japonais âgé nous avait révélé que l'attribution des noms aux techniques de l'Aïkidô était l'oeuvre de Kisshômaru Senseï, qui ce faisant répondait à une requête d'André NOCQUET de voir codifier les mouvements afin de pouvoir proposer un enseignement structuré une fois retourné en Europe. Voilà un détail intéressant, et historiquement très plausible, car au Japon l'on n'est pas très friand des noms de techniques, estimant probablement qu'il vaut mieux les pratiquer que s'attarder à leur choisir un nom de baptême!
Il fallait lire la passion dans les yeux de Maître NOCQUET, bel homme très bien bâti, pas très grand, qui s'extasiait encore de sa rencontre avec le Maître, vingt ans, trente ans après et même davantage. Ses stages étaient entrecoupés de longues explications sur l'esprit, sur l'éthique de l'Aïkidô, et son grand mérite, plus encore que d'avoir contribué à sa propagation du point de vue technique, fut de délivrer au monde occidental le message suivant: l'Aïkidô n'est pas un sport, ni un sport de combat, mais une voie d'Amour et d'Accueil. "Enveloppez votre adversaire avec votre coeur!" C'est l'une des phrases fétiches du Maître.
Les plus anciens se souviennent peut-être de son extraordinaire démonstration lors de la toute première "Nuit des Arts Martiaux" au Palais des Sports de Paris en 1974. Ce jour-là, l'Aïkidô fut démontré dans toute sa splendeur et sa noblesse par un homme déjà âgé, qui évoluait dans une sphère d'harmonie et était visiblement habité par l'Esprit Aîki.
Jamais l'Aïkidô ne fut mieux représenté que lors de cette soirée!
Il doit y avoir quelque part le souvenir filmé de cette prestation magique. IL serait intéressant de pouvoir la visionner.
En empruntant une phrasologie Shintô, l'on pourrait se laisser aller à dire que les dieux --- ou Kami --- de l'Aïkidô étaient avec Maître Nocquet lorsqu'il fit sa présentation de l'Aïkidô.
Métamorphose de la Violence
A l'origine, des techniques issues du Jû Jutsu, dont la variante est l'Aïki Jutsu, ou l'Aïki Jû Jutsu. Des techniques de combat sophistiquées certes, mais non encore habitées de l'Esprit que Maître UESHIBA, au sortir d'une séance d'illumination mystique, saura leur conférer.
Il s'agit d'un éveil assez particulier qui n'a rien de mystérieux si l'on prend le temps d'y réfléchir: à force d'entraînement, vient le moment où le corps ne peut plus réagir par le filtre de la pensée. Alors commence le subtil travail de l'esprit, qui remue jusqu'à l'âme elle-même.
Mais il découlera de cette expérience d'un instant vécue par Maître UESHIBA un Art entièrement nouveau, où la technique n'est plus destructrice mais salvatrice, où l'adversaire devient partenaire, où la vie n'est plus envisagée comme un "combat" mais un challenge dont il faut apprendre à tirer le meilleur parti, en envisageant dorénavant l'existence sous l'angle nouveau et inédit de l'Harmonie!
Sabre tueur & Sabre de Vie
C'est, résumées en peu de phrases, toute l'éthique, toute la philosophie de l'Aïkidô qui sont embrassées dans ce principe, si simple à énoncer, mais dont l'application nécessite un travail sans relâche, sans oublier jamais que l'ennemi n'est pas la personne avec qui l'on pratique (elle est au contraire l'allié nous permettant d'appliquer les techniques et d'enrichir nos connaissances), mais le vilain ego qui continue longtemps à se manifester à l'intérieur de soi: désir de dominer, désir d'affirmation, désir d'infliger une prise douloureuse, désir de s'imposer, désir d'être beau, désir d'être fort, désir de........
Le principe TEN CHI, Ciel & Terre, est omniprésent dans la pratique de l'Aïkidô.
Bien sûr, on pensera à "TenChi Nagé". Mais il ne s'agit pas uniquement de cela.
De manière répétée et permanente, l'adepte apprend à se mouvoir en supprimant les angles (c'est-à-dire les tensions, ainsi que les affirmations égotiques) de ses mouvements. Aussi longtemps qu'il reste tributaire de ses instincts primaires et féroces, il demeure vissé au sol, à la Terre.
De manière métaphorique, considérons qu'il est plus aisé de descendre cinq étages que d'en monter quatre; ainsi le fait de donner libre cours à ses instincts primitifs peut mener l'adepte à la voie de la facilité qui est celle de l'auto-destruction, en descendant toujours plus bas dans l'échelle des sentiments.
Beaucoup d'entre nous n'ont-ils pas expérimenté, disons par exemple à l'Aïkikaï de Tôkyô (ceci n'est pas une critique, mais une constatation), un sentiment qui vous ronge les entrailles, vous fait palpiter le coeur, vous envoie des bouffées de hargne par le nez et les yeux, au point de rendre coup pour coup, vilain nikkyô pour vilain nikkyô, avec le désir évident de se venger, de faire mal, d'infliger au partenaire une destruction au moins partielle de son intégrité physique?
Ce sentiment innommable, c'est la haine. Paradoxal lorsque l'on pratique sous le portrait du fondateur d'un Art de Paix et "d'Amour", comme ils savent si bien le répéter à longueur de livres.
Ce Budô est celui de la destruction. Il ne faut pas y tomber, c'est un piège de l'ego, il ne mène qu'à l'esclavage mental. Esclavage des pulsions, et transformation d'un lieu de recherche (le Dôjô est traditionnellement le lieu où s'éduquent les vertus) en une sorte de jungle, avec hiérarchisation des pratiquants: les très forts (prédateurs), les moyennement forts (gagnants un jour, perdants le lendemain, ils vivent dans l'incertitude); les faibles enfin, qui font les frais de l'animosité des autres catégories.
A CELA il convient d'opposer une pratique qui, si elle sait rester Terre à Terre pour ce qui est des principes techniques passant par l'apprentissage de la base, doit nécessairement évoluer vers le non-physique, par le moyen d'un placement du corps et du souffle approprié. Alors l'exercice devient céleste (du Ciel), et l'équilibre devient ainsi possible entre les mouvements de Terre, dont nous sommes tributaires puisque nous sommes fixés au sol, et d'autres mouvements nous laissant entrevoir une possibilité future d'évolution désincarnée; le pratiquant a l'espoir de devenir un TenChiJin, Un Homme du Ciel et de la Terre, que l'on pourrait tout aussi bien qualifier de Céleste, ou pour rester plus précis, un Vertueux.
Telle est la finalité de la pratique de l'Aïkidô, qui est l'étape la plus raffinée dans tout le système du Budô.
Noblesse du coeur, pureté du Geste.
Hana wa Sakuragi ,
Hito wa Bushi.
Cette maxime très ancienne signifie:
Le Cerisier est l'Arbre parmi les arbres;
Le Guerrier est l'Homme parmi les hommes.
(Le cerisier est réputé, pour la beauté de ses fleurs éphémères, être l'arbre le plus noble; le Guerrier doit ici s'entendre dans le sens de l'Homme sur la Voie, qui selon l'étymologie du mot "BU" travaille pour résoudre les conflits sans faire usage de sa science du combat.)
Et cette profession de foi émouvante, relevée sur un papier laissé par un pilote-suicide japonais, Teruo YAMAGUCHI:
"Puissions-nous mourir
Comme au printemps
Les Fleurs du Cerisier:
Pures et étincelantes."
POUR TERMINER CE CHAPITRE, penchons-nous un instant sur la signification de deux expressions historiques se rapportant au sabre japonais, dont tout Aïkidôka est amené à aborder la pratique sous une forme ou sous une autre (le sabre n'étant pas codifié dans le cadre de l'Aïkidô, la pratique des arts du Ken est laissée à la liberté de chacun).
SETSU NIN TÔ.
Setsu: tuer.
Nin: l'homme.
Tô: le sabre.
Ainsi est qualifié le sabre "historique", considéré en tant qu'arme à la destination évidente sur les champs de bataille.
A partir de 1868 et dans la suite logique des changements introduits au sein de la société japonaise (époque Meïji signifiant "la Politique Eclairée"), le port du sabre est interdit, de même que son utilisation. On entre dans une société unie et pacifiée, après des siècles de tribalisme.
L'Art du Sabre subsiste en qualité de discipline interne, ou art "d'Être dans l'Unité" (signification exacte du terme "i-aï", devenu ensuite iaï justu puis iaïdô).
Dans cette optique, le Sabre, objet noble par excellence, souvent considéré détenir une sorte d'âme --- ainsi, l'âme serait lame... --- devient un précieux auxiliaire de la réalisation de soi, dans une optique très proche de celle usitée en Aïkidô.
Chaque mouvement, et nous pouvons le ressentir individuellement, n'est plus dès lors destiné à "tuer", ni même à "trancher" un hypothétique adversaire, mais le Sabre est devenu l'instrument de notre propre perfectionnement! La noblesse de l'objet, ajoutée à la noblesse de l'intention présidant à l'accomplissement d'un geste forcément noble parce que dépouillé de toute intention néfaste, produit un mouvement par lequel l'auteur se sent irrémédiablement investi d'une sorte de grâce telle que peu d'activités peuvent en procurer...
Loin du "sabre tueur", nous voici désormais introduits dans l'univers du KATSUJIN KEN:
KATSU: Vie;
JIN: l'homme;
KEN: le Sabre.
C'est donc désormais le "Sabre de Vie", que l'on pourrait qualifier aussi bien de "Sabre Rédempteur", qui est le compagnon de nos exercices.
Pratiquants, vous qui aimez ces mouvements souples, réguliers et puissants, rejetez loin de vous, une fois les bases solidement acquises (c'est l'affaire d'une petite dizaine d'années), ces mauvais sabres d'entraînement modernes, mal équilibrés, pesants, longs, larges, et ne permettant pas à la sensation pure d'émerger. Une fois, une fois seulement dans votre vie, accordez-vous les délices de la tenue d'un sabre historique, à la lame plus menue, plus claire aussi, belle comme une source, à la courbe si pure et si inimitable, à la poignée si fine et délicate, à l'équilibre si parfait que les épaules vous en tombent, et que se placent naturellement colonne vertébrale, mains et ventre: alors vous découvrirez cette sensation inoubliable du "Sabre Rédempteur", et vous en saisirez le sens profond!
OSER
Oui, il s'agit là encore d'oser. Même si les instructeurs recommandent d'utiliser ces mauvais sabres coûteux, parfois assez esthétiques certes, mais si décevants lorsqu'on les prend en mains, n'hésitez pas à sortir des sentiers battus, n'hésitez pas à sortir des convenances et des choses établies: c'est de cette manière que le monde avance!
UESHIBA n'aurait jamais pu mettre au point l'Aïkidô s'il s'était contenté de se plier aux us de son temps en matière d'arts martiaux. Il fallait, c'est indéniable, une certaine dose de folie.
Même chose pour Van Gogh, et pour bien d'autres!
Einstein (qui avait semble-t-il copieusement pillé les travaux d'Henri POINCARRE pour promulguer sa théorie) n'aurait pu faire ce qu'il a fait s'il s'était satisfait de céder aux convenances du moment.
Aujourd'hui, inversement, tout chercheur ne peut avancer qu'à condition d'être capable de laisser de côté les théories d'Einstein, qui édifiées en tant que dogmes enferment désormais le chercheur dans un carcan de conventions dont il lui faudra se libérer s'il veut pousser les découvertes plus avant.
L'histoire, l'archéologie et bien d'autres sciences crèvent aujourd'hui des dogmes imposés par des instances incapables de douter, et donc de remettre en cause des théories qui plombent désormais toute recherche plus avant.
L'Aïkidôka, s'il se contente d'imiter son modèle, même illustre, s'enfermera lui aussi dans un carcan.
S'il faut bien sûr toujours respecter la base, il doit exister un espace de réflexion, d'exploration, d'expérimentation dans la pratique d'un Art extraodinairement créatif si l'on y ouvre son esprit.
Instructeurs d'Aïkidô, ouvrons toutes grandes nos ailes pour pouvoir nous élever très haut dans les cieux; alors seulement aurons-nous l'espoir de devenir nous aussi, peut-être, des TenChiJin, c'est-à-dire des Hommes à l'Esprit Céleste et, peut-on espérer aussi, des Hommes Vertueux...
Nos Vidéos: Références YouTube: pascalolivieraikido, ou bien aikido tenjinkai 2011.