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Par Anonyme, le 03.07.2021
je me nomme corine âgée de 32 ans j'habite dans le 59139 wattignies . j'étais en relation
avec mon homme i
Par corine, le 26.08.2018
je me nomme christiana, j'habite riggargatan 16 d, galve ,80286, swe. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu su
Par Christiana, le 16.06.2018
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Par Christiana, le 16.06.2018
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Par Christiana, le 16.06.2018
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Date de création : 15.08.2010
Dernière mise à jour :
19.12.2018
81 articles
Iaï : l'Unité de l'Être
APPRISES auprès de Maître FLOQUET au début des années 70, les onze techniques présentées ici constituent la série communément appelée alors le iaï de l'École KATORI SHINTÔ RYÛ. Elles étaient issues de l'Enseignement des Maîtres MOCHIZUKI père et fils, et à ce titre parfois appelées "Yôseïkan Shintô Ryû". Les Pratiquants de l'Aïkidô Yôseïkan d'alors (cf notre article précédent) purent s'abreuver à satiété à cette merveilleuse source.
Cela étant précisé, il n'est nullement question ici de se réclamer de l'Enseignement de tel ou tel, et ce pour un certain nombre de raisons :
- Maître Hiroo MOCHIZUKI ayant évolué depuis longtemps dans un sens très personnel, ne pratique plus ces formes, qui demeurent cependant gravées sur son merveilleux livre évoqué dans le précédent article de ce blog-notes.
- Maître Alain FLOQUET, notre référence absolue et historique en matière de Budô authentique, a lui aussi connu une évolution qui lui est propre, au contact principalement de maître Yoshio SUGINO (pour le Katori) dont il est l'un des Représentants le plus autorisés. La pratique de Maître FLOQUET ne doit plus correspondre exactement à l'heure actuelle à ces principes datant d'il y a quarante années.
- Le fait de se réclamer d'une École est aujourd'hui une chose risquée, puisque les susceptibilités étant à fleur de peau, l'on risque de se mettre à dos les tenants de ces Écoles qui bien souvent (ou toujours) les considèrent comme des propriétés privées. Ils n'entrevoient de Vérité que celle qu'ils détiennent, ou qu'ils tiennent de leurs maîtres de référence, et sont aveugles à toute critique. On n'est nullement obligés, nous autres, d'être des inconditionnels de ces professeurs dont on peut estimer que la pratique est parfois très caricaturale.
POUR TOUTES CES RAISONS, ajoutées au fait qu'au regard de l'évolution intime de l'officiant, il est probable que les techniques jadis apprises ont été involontairement modifiées par la grâce du temps ; n'ayant pour support qu'une mémoire d'homme, et aucun support visuel autre que les images de l'esprit, il est quasiment certain que ce qui est démontré ici ne représente pas de façon fidèle l'Enseignement alors reçu.
On ne pourra donc qualifier ces techniques que du nom de l'École créée par l'auteur de ce blog, à savoir le"TenJin" ("Esprit Céleste"). On appellera cette série "le iaï de l'École Tenjin", ou "TenJin Iaï".
Les techniques présentées ici sont un matériau de base ; qu'elles constituent pour l'Élève désireux de s'initier à une pratique fascinante, une base pour un apprentissage mesuré des techniques de maniement du sabre ou katana.
Il est utile de préciser en effet que, pour les pratiquants d'Aïkidô, l'exercice au sabre ou au bâton ne peut être qu'un complément d'étude ; leur intérêt principal devrait toujours demeurer la technique du corps, qui mène, on le sait, à celle de l'âme, au fil d'un Cheminement qui ne saurait connaître d'autre fin que celle de l'existence.
Cheminer demande de l'attention, car le randonneur a tôt fait de se fourvoyer en empruntant quelque sentier qui le mènerait loin de tout, s'il ne demeurait entièrement à sa démarche.
Ainsi l'apprentissage mesuré des techniques d'armes évite-t-il de tomber dans la facilité que constitue l'application en tout et partout des principes issus de ces Écoles, jusqu'à ce qu'elles prennent finalement le pas sur tout le reste de notre travail Aïki, qui est infiniment subtil, et requiert de garder l'âme éveillée...
Contrairement aux Écoles qui ont réponse à tout, il n'est pas proposé ici de salut offert clé en main par le respect de tel ou tel dogme, ni même de principes techniques immuables ou défitinivement "acquis" : tout comme dans l'Aïkidô, le seul matériau dont nous disposons est la technique de base, qui mérite ensuite d'être travaillée ad vitem aeternam, en l'épurant, c'est-à-dire en s'épurant soi-même de tout ce qui est inutile, tant dans la tête que dans le corps.
On vous le dit : le Cheminement est infini.
CES PRÉCISIONS UNE FOIS DONNÉES, passons à la pratique.
Le iaï, comme tous les arts du Budô, requiert un maximum d'attention de la part de celui qui souhaite s'y initier. 2% d'obervation suivis de 98% de pratique : c'est ce à quoi se résume son apprentissage. Les observations théoriques ne sont pas les bienvenues pour ces arts infiniment subtils, où il est indispensable d'essayer, de découvrir, d'éprouver au plus intime de soi plutôt que ressentir par procuration.
* * * * * * *
Début : salut du sabre, salut de l'audience. Glissement du sabre à la ceinture, positionnement en "iaï goshi", c'est-à-dire le genou droit légèrement décollé (c'est la position du plombier : mobilité, stabilité, et confort), cette manière de se tenir permettant de fuser dans n'importe quelle direction, ce que ne permet évidemment pas le "seïza" ou assise intégrale habituellement en vigueur dans le iaïdô (voir plus bas).
Vous pouvez d'ailleurs vous amuser à pratiquer les suwari waza de l'Aïkidô à partir de cette posture : tout devient si évident, et la mobilité est telle que vous considérerez très vite, et à juste titre, que le travail en partant les deux genoux au sol est une aberration (la position seïza est une position de repos, et non d'action !).
Première technique : Ippon mé.
Les détails techniques ne seront donnés que pour cette première technique ; les suivantes en découlent naturellement. Un exercice de trois mois au moins, mais plutôt six, et pourquoi pas un an, de ce Premier Mouvement est préférable à l'acquisition de toute la série sur des bases incertaines. Pratiquer, pratiquer encore, pratiquer toujours la technique de base : les Budôkas connaissent bien cette ritournelle.
La sortie du sabre se fait horizontalement, au niveau du genou du vis-à-vis (donc à 40 cm du sol environ).
Le corps se redresse pendant l'action, les omoplates tirées vers l'arrière ; le fourreau, collé à la hanche gauche et maintenu par la main gauche, est lui aussi tiré vers l'arrière, le tout pour garantir un redressement maximal de la posture.
La main droite ne doit pas dépasser le cercle d'action du pratiquant, c'est-à-dire qu'elle doit rester connectée au centre afin qu'il n'y ait nul divorce entre le bras qui tient l'arme et le reste du corps. Voyez à ce sujet la photo de Hiroo MOCHIZUKI Senseï publiée dans l'article précédent. Regardez-la encore et encore ; amusez-vous par curiosité à l'imprimer, et à tracer des lignes, droites ou courbes, au crayon, verticalement, horizontalement, en suivant la verticalité du corps, puis l'horizontalité des épaules, des hanches, de la ligne du sabre, de celle du genou : vous verrez que tout est parfait.
On insistera beaucoup sur cette première phase : c'est d'elle que découlera tout le reste de la pratique. Elle est au iaï, et au Budô, ce qu'est la lettre A à l'alphabet : le reste ne peut exister sans elle.
Au moment de l'avancée du corps et pendant le dégainage du sabre, la jambe droite marque un pas en avant ; simultanément et sans prendre de retard la jambe gauche va suivre en glissant sur le sol de manière à ne pas laisser le corps "devancer" le centre, et ne pas rester derrière à la traîne. Ce faisant, le pied gauche doit être ramené sous le fessier, chose également importante pour garantir la compacticité du corps.
Sans précipitation mais sans perdre de temps, le sabre est armé au-dessus de la tête, puis rabattu droit vers l'avant. On veillera à ne pas (ou pas trop) se pencher en avant en effectuant cette coupe finale, et à rester le plus droit possible sans être figé. Ceci est bien sûr une gageure, comme l'est à peu près toute la pratique des arts du Budô, n'est-il pas ?
La pose est gardée quelques secondes : c'est le fameux "Zanshin", "l'esprit qui demeure" que l'on pourrait aussi qualifier, plus joliment, d' "esprit qui ne meure...". Cette attitude immobile et délicieuse peut être gardée d'interminables secondes lorsque l'on pratique pour soi et loin des regards.
Puis, à la faveur d'une remontée de tout le corps et de la pointe du sabre, on effectue le rituel de "Tchiburi", ou "égouttage du sang".
Comme tout ce qui découle de la pratique du Budô, le propre se mêle intimement au figuré, ce dernier prenant souvent le pas sur la réalité, et n'en déplaise à beaucoup, sur le "réalisme".
Faire tourner le sabre habilement, puis le reprendre à l'envers pour le replacer dans son fourreau, avouez que tout cela se situe à mille lieues de tout réalisme, même si le geste est accompagné d'un rictus menaçant. Imaginez que vous soyez dans une situation réelle, où vous devez protéger votre peau, et ne sachant pas à quel moment un nouveau danger va survenir : prendrez-vous le risque de faire un esthétique mouvement au péril de votre vie, en reprenant le sabre d'une manière qui le rendrait inopérant pendant plusieurs précieuses secondes ?
Au risque de décevoir les âmes les plus sensibles, il faut bien préciser que cette manière belle et fluide de procéder est à mettre sur le compte du rituel, destiné à développer des qualités d'attention et d'esthétisme naturel chez l'adepte ; elles n'ont jamais été pratiquées sur les "champs de bataille". Et pour cause : la lame étant paraît-il "l'âme" du guerrier, ce dernier risquerait-il de la vicier à jamais en laissant le sabre dégoulinant de sang retrouver son fourreau, qui sera irrémédiablement souillé et garantira une oxydation parfaite de la lame réputée si parfaite mais si fragile ? ...
Quelques instants de réflexion vous donnent, comme en toute chose, la réalité sur la donne "réaliste" de telles pratiques.
Reprenons le cours du mouvement, si agréable qu'on ne le modifierait pour rien au monde : le sabre glisse de manière fluide entre l'index replié et le plat du pouce de la main gauche, qui forment un rail de guidage pour qu'il puisse revenir se placer docilement dans le fourreau. La main gauche avance le fourreau vers le sabre lorsque celui-ci est aux deux tiers du rengainement. Ce geste permet de conserver les mains unies au centre. Le sabre doit être lié au centre à tout moment.
Sans qu'il n'y ait le moindre décalage entre l'ensemble de tous ces gestes, depuis le début de l'exercice, et même depuis le début du cérémonial,,, on retrouve la position de départ en "iaï goshi" (position du plombier), et après être demeuré immobile ("calme" serait plus approprié) mais l'esprit alerte pendant quelques instants, on peut se livrer à l'application des mouvements suivants.
Il est parfaitement inutile de prendre des mimiques agressives ou de regarder votre auditoire de travers : la pratique du iaï est hautement ritualisée, et il n'y a à trancher que sa propre imperfection si l'on veut absolument trancher quelque chose, mais surtout pas celles et ceux qui vous font l'amitié de vous observer. Et ne jamais oublier que nous sommes au XXIème siècle.
Iaï, Iaï-dô ou Iaï-jutsu ?
Une question de vocabulaire.
Le iaï-Jutsu est défini habituellement comme l'art de tirer plus vite que son ombre. Lucky Luke y aurait-il excellé ? On peut le supputer.
Couper le bonhomme en deux, ou en trois, et rengainer sereinement pour poursuivre son chemin. Une sorte de Western d'Extrême-Asie. Osera-t-on pour le coup le terme d' "Eastern" ?
Les techniques d'escrime au sabre (souvent en bois, qui est une arme terrifiante) sont multiples, à peu près aussi nombreuses que le furent les senseï et combattants de jadis. Peu d'entre elles survécurent ; c'est au XVIIème siècle que l'on commença à évoquer les qualités de coeur ( la bitoku) que la pratique des Arts de la Guerre pourrait, utilisée judicieusement, susciter chez l'adepte.
Mais c'est en 1868, avec l'évolution du Japon en société structurée à l'occidentale et définitivement pacifiée, que vont se transmuter les pratiques ancestrales jusque là utilisées au combat : les Jutsu deviennent des Dô, et le souci n'est plus de "gagner" puisque l'on ne fera désormais plus usage de ces techniques, mais plutôt d'éveiller chez le jeune adepte des vertus chevaleresques.
Le iaï ne fera pas exception à la règle : tout comme le kyûdo, magnifique art de l'auto-réalisation (peut-être le plus difficile de tous car les actions en sont très peu nombreuses et requièrent une attention, une synchronisation parfaites dans une lenteur merveilleusement intense, et dans un "zanshin" permanent), le iaï devient art d'auto-réalisation par le maniement du sabre. Exercice solitaire où l'on n'a donc pas l'alibi de "l'autre" pour excuser ses propres manquements. Exercice non démonstratif, donc que l'on pratique pour soi, avec comme seul souci de se parfaire.
D'où ces Écoles de iaï-Dô qui, pour passionnantes qu'elles sont, proposent des pratiques complètement décalées par rapport à ce que l'on considère habituellement comme des techniques issues des arts antiques. Lenteur de l'action, départ à genoux (position de repos), grands gestes où la perfection est délibérément recherchées au détriment de l'esprit de "survie" des temps anciens. De quoi mettre parfois mal à l'aise l'adepte qui, même cheminant dans un esprit de détachement par rapport au "réalisme", en vient à se demander pourquoi il peut exister un tel décalage entre le geste guerrier d'antan, et le geste épuré à l'extrême d'aujourd'hui.
On peut s'essayer à emprunter une Voie médiane qui saurait ne pas tomber dans les excès précédemment énoncés : ni le réalisme à tout prix, grimace garantie en sus, ni la dégénérescence technique à laquelle on peut parfois assister.
Le concept de simple "Unité de l'Être" se suffisant à lui-même, on peut ainsi considérer que le terme de iaï est adapté à une pratique méditative incluant des instants de calme alternés avec des moments d'action, vive mais détendue et toujours mesurée.
Bonne pratique à toutes et à tous,
Bon Bout d'An,
Joyeux Noël puisque nous y voici,
Et à l'An Prochain pour les Bons Voeux !
Pascal OLIVIER.
Je me nomme Christiana, j'habite RIGGARGATAN 16 D, GALVE ,80286, SWE. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu sur les forums mais cette fois-ci c'est la goute d'eau qui a débordé la vase.
En effet mon homme avec qui j'ai fais 7 années de relation conjugal ou nous avons eu 2 enfants me laissa pour une autre et mieux il se sont installé ensemble, 2 mois sans nouvelles c'est ainsi j'ai parlé de ma situation a ma collègue de service qui me donna le contact du Maitre marabout FAGNON tchetula dès que je l'ai contacter et expliqué ma situation il promis de dormir a tête reposé en 3 jours mon homme est revenu à la maison et très amoureux de moi ...(pour tous vos petit problème de rupture amoureuses ou de divorce ,maladie ,la chance , gagner au jeux de loto , les problèmes liés a votre personnes d'une manière, les maux de ventre, problème d'enfants, problème de blocage, attirance clientèle, problème du travail ou d'une autres) voici le contact du maitre marabout FAGNON tchetula vous pouvez l'appelé directement ou l'ecris sur son wathsaap ou mail , il est joignable .
Wathsapp : 00229 65 73 13 89
E-MAIL: maitrefagnon.tchetula777@hotmail.com
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