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Par Anonyme, le 03.07.2021
je me nomme corine âgée de 32 ans j'habite dans le 59139 wattignies . j'étais en relation
avec mon homme i
Par corine, le 26.08.2018
je me nomme christiana, j'habite riggargatan 16 d, galve ,80286, swe. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu su
Par Christiana, le 16.06.2018
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Par Christiana, le 16.06.2018
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Date de création : 15.08.2010
Dernière mise à jour :
19.12.2018
81 articles
Une Grande Fête
C'est sur les accents du 17ème Concerto pour Piano & Orchestre de Mozart (le chef d'oeuvre le plus mystérieux de ce grand maître de l'Harmonie vibratoire) qu'a débuté la Journée Aïki qui promettait, comme sa petite soeur (demi-journée seulement) de l'an passé, d'être un grand moment pour les Aïkidôkas de toutes origines souhaitant se joindre à l'aventure.
Pendant cette mise en train musicale, généreusement dispensée par les puissants hauts-parleurs professionnels qui diffusaient une qualité digne d'un concert, une bonne douzaine de bras musclés s'étaient affairés pour mettre en place la centaine et quelques de mètres carrés de tatamis, qui étaient encore clairsemés à dix heures moins dix; à dix heures moins neuf, des ombres se profilaient dans le hall du gymnase; à moins sept, surgissaient des vestiaires, un à un mais en queue fournie, des pratiquants connus et inconnus venant installer bokken et jô sur le pourtour du tatami; à moins trois, la calligraphie, le portrait de Maître UESHIBA, le magnifique bouquet d'inspiration ikébanienne (merci, monsieur Hervé!), le porte-sabre sur lequel était disposé un remarquable katana noir aux accessoires partiellement dorés; les armes destinées à l'enseignement, enfin (bokkens de bois précieux, tantô de même facture, jô usé par les tsuki et autres évolutions amples dans l'espace), tout, tout, tout était prêt dans les moindres détails.
A dix heures cinq, le temps de laisser arriver les tout derniers pratiquants (mais on sentait bien que les présents commençaient à s'impatienter), l'on entamait le salut. Formidable discipline, merveilleuse ponctualité des Aïkidokas de tous clubs qui, sans se connaître, et en pratiquant parfois des Voies assez différentes, savent tous apprendre de leurs maîtres ces mêmes valeurs fondamentales qui font que le Budô est le Budô.
LE PRINCIPE DE NOTRE JOURNÉE AÏKI étant de permettre à tous les pratiquants de toutes les tendances et de tous les niveaux, sans aucune distinction de club, de fédération, d'Ecole (c'est précisément l'esprit de notre Journée) de se rencontrer, nous n'avons évidemment demandé à personne de montrer "patte blanche", ni de fournir un quelconque "passeport" (que ne faut-il pas entendre... Maître UESHIBA serait enchanté de savoir qu'on exige des "passeports" pour pratiquer sa Voie de l'Harmonie), ni même une preuve d'appartenance à un club.
En ce sens il est difficile d'évaluer combien de clubs ont été représentés au cours de cette journée. Mais à vue de nez, nous pouvons, pour les grandes lignes et sans entrer dans les détails, compter 7 clubs régionaux, en plus des 2 représentés par nos Invitées allemandes dont beaucoup de pratiquants se sont disputés les faveurs aïkidôïques (elles étaient venues pour cela!).
Ce qui fait une petite dizaine de clubs présents sur le tatami ce jour-là; l'on insistera sur la bonne entente, la cordialité, l'harmonie même qui s'est dégagée de la pratique de cet ensemble.
Un pratiquant s'étonnait que tous et chacun ne se plient pas exactement à ce qui était montré par tel ou tel professeur. Ah, mais cher ami, c'est que... il n'est pas forcément très aisé de se mettre comme cela, d'emblée, au diapason d'un professeur que l'on ne connaît pas! Si cela ne pose aucun problème à des pratiquants ayant 20 ou 30 années à leur actif (chose courante dans un pays où l'Aïkidô a 60 années de présence), il n'est pas facile en revanche pour des pratiquants moins entraînés d'évoluer librement de telle forme vers telle autre. Et naturellement chacun en vient à chercher refuge dans les connaissances qu'il a déjà acquises, au risque d'écorner légèrement l'enseignement qui lui est dispensé, en le modifiant même totalement selon les cas.
Il ne faut ni s'en émouvoir, ni s'en formaliser: l'Aïkidô est un art simple et difficile, simple dans son essence mais ô combien difficile dans ses applications, qui nous demandent de laisser au vestiaire toutes nos imperfections.
C'EST NOTRE PROFESSEUR, PASCALqui a lancé ce que l'on n'ose appeler les "hostilités". En tant que club hôte, en effet, il était normal d'intervenir en premier lieu, pour laisser à nos invités le soin de poursuivre, développer puis conclure la Journée dans un ordre de passage qui correspondait par ailleurs à leurs désirs.
Après une mise en condition respiratoire et axée sur la décontraction, l'accent a été mis sur "la pratique de la technique, libérée de la technique"; il s'agissait donc de faire vivre les principes de l'Aïkidô tels que nous les pratiquons tous à l'entraînement, mais en laissant tomber le côté trop "technique" de la pratique. Pour que celle-ci soit naturelle; pour que de la technique répétée à l'envi, naisse l'expression libre du mouvement qui ne serait plus dicté par le mental, mais par la situation engendrée lors de la rencontre avec le partenaire...
Approche, accueil, guidage, fusion, séparation,...
En guise d'entrée, c'est un Tenchi Nagé qui nous fut proposé, sur saisie des deux mains. L'exemple qui fut donné était parlant: "Vous êtes dans une gare. Dix mètres plus loin se profile la personne que vous cherchez. Entre elle et vous un quidam évolue. Vous ne le voyez même pas. Vous passez littéralement au travers de l'homme pour retrouver l'être cher."
Dans notre exercice de Tenchi, le Uké était le quidam, qui ne constituait pas un obstacle à vaincre, ni à dominer, ni à surmonter, mais un simple élément au travers duquel on allait passer presque par inadvertance, comme le passe-muraille traversait les murs de Montmartre dans la célèbre nouvelle de Marcel Aymé...
C'est sur ce ton que fut expédié l'entraînement matinal, qui se prolongea jusqu'à 11h41 (au lieu des 11h30 prévues). Là encore, les Aïkidokas, scrupuleux, commençaient à envoyer vers l'horloge électronique aux chiffres rouges des regards appuyés, comme pour signifier à notre cher professeur, perdu dans l'ivresse de son enseignement, qu'il était temps d'aller faire miam-miam...
Trente-six parrticipants à l'entraînement du matin; notons cependant que le gros des troupes était prévu pour l'après-midi. Une bonne douzaine des pratiquants du matin ne reviendront pas après déjeuner, pour raisons diverses (quartier libre seulement jusqu'à midi; retrouver Bobonne, aller pratiquer dans leur propre dojo où ils avaient cours; aller au taf, garder les morveux, etc).
L'APRÈS-MIDI, départ en souplesse mais sur un rythme bien soutenu avec l'ami Vincent BRAJDIC, qui vint pour la première fois initier quelques dizaines d'Aïkidokas (42 au total) aux subtilités de l'AïKI-JUTSU.
Une découverte pour beaucoup d'entre eux! Quelques contradictions relevées par certains (Tiens! Mais il ne fait pas Ikkyô comme nous!...), ou plutôt des différences davantage que des contradictions. Car à l'examen des vieux livres d'O Senseï, il apparaît clair que ce qu'il démontre (les pauses sont assez éloquentes) est bien l'AïKI JUTSU, ancêtre de notre Aïkidô qu'il développera par la suite. Le cheminement technique s'explique tout naturellement si l'on prend la peine de faire un peu d'étude en la matière.
Un vrai bonheur pour tous, une remise en question garantie!
Philippe CADOT, professeur bien connu de Lésigny,prenait la suite. Rapport entre l'Aïkidô et le sabre; technique du Jô; applications techniques variées; Maître Philippe a su une nouvelle fois nous ravir par l'étendue de ses connaissances et la manière toujours si évidente qu'il a d'illustrer les principes de notre Art qu'il connaît comme personne. Un authentique chercheur en la matière, qui prouve à l'occasion qu'il est par ailleurs capable de se fondre dans n'importe quelle pratique de l'Aïkidô avec l'aisance d'un poisson dans l'eau, ce qui est une autre preuve de son très haut niveau.
LA DERNIÈRE HEURE était animée par Raymond BISCH, qui a une fois de plus enchanté l'auditoire (ou, comment dit-on pour les pratiquants? Le "pratiquoire"?) en illustrant les principes techniques, à partir d'un "simple" mouvement ikkyo, d'une courbe naturelle et expansée permettant d'accéder à une spirale fluide et étirée au maximum, rejoignant en cela la pratique de début de journée où il était question, rappelons-nous en, d' "oublier" la technique, de s'en affranchir au profit du naturel exprimé dans le mouvement... Quelques belles évolutions au Jô, où les plus anciens ont décelé la trace de l'enseignement du divin Maître NORO (qui est au Budô ce que Mozart fut à la musique: un virtuose accompagné d'un créateur)...
Episode II: La Soirée Aïki.
LE TEMPS D'AVALER UNE RAPIDE COLLATION pour les professeurs, cependant que les élèves, du plus jeune au plus ancien, remballaient les tatamis dans la camionnette qui les réacheminait dans leur dojo d'origine, et l'heure de passer aux démonstrations arrivait à grands pas.
Nous avions commencé la Journée avec Mozart; c'est avec Beethoven que nous la poursuivîmes, et la même stéréo diffusait cette fois le tempo di menuetto assorti de son allegro vivace final de sa 8ème symphonie, peu connue mais si sublime!
Les spectateurs qui commençaient à affluer vers les gradins avaient un air incrédule, eux que l'on abreuve habituellement en de telles occasions de bruits divers et plus ou moins volumineux auxquels on attribue parfois un peu hardiment le nom de musique.
Et pourtant l'ambiance était bonne! Chacun affichait un air content d'être là, avide de voir ce qui allait se dérouler.
Là encore, il fallait rester dans la ponctualité. A 20h15 tout de même, car il importait de laisser du temps aux hypothétiques retardataires (qui étaient dans leur tort, dirons certains) de prendre place, et M. Jean GRESLése plaça au centre du tatami. Ce toujours jeune aïkidoka de quatre fois vingt printemps entra en scène pour démontrer l'art auquel il consacre tout son temps depuis le milieu des années 50 (il fut l'un des premiers pratiquants d'Aïkido en France). Art qu'il perfectionna en effectuant de multiples séjours au Japon au cours des années 60, du vivant donc de Maître UESHIBA qu'il put admirer et suivre lors de ses escales à Tokyo (M. Greslé était pilote de ligne longs-courriers sur AIR FRANCE).
Accompagné de ses élèves, il démontra vingt minutes durant l'art de l'esquive et de la non-présence (l'attaquant ne rencontre que le vide) sur un, puis sur de multiples assaillants, imperturbable dans sa position debout et toujours dans le temps dans ses réactions.
Ce fut ensuite Vincent BRAJDIC qui intervint cette fois pour démontrer le Iaï JUTSU de l'Ecole multi-centenaire KATORI SHINTÔ RYÛ. Le sérieux, l'air contrit même qu'il affichait laissa un instant penser qu'il allait se livrer à une démonstration de SEPPUKU ou suicide rituel avec ouverture du ventre à l'horizontale et sciage méthodique des viscères; fort heureusement, le sabre qu'il utilisait était une copie moderne, donc tranchant comme un couteau à beurre émoussé avec lequel on serait bien en peine de trancher une lamelle de beef steack.
Au lieu du SEPPUKU, ce fut une belle présentation des onze figures de cette Ecole emblématique qui nous fut donnée, et le silence régnant permit d'entendre à chaque fin de série le sifflement de la lame dans l'air. On retrouvera plusieurs mouches coupées en deux le soir en faisant le ménage du lieu.
Philippe CADOT démontra ensuite les aspects multiples de l'Aïkidô, mains nues, bokken, tantô, jô, en une démontstration d'une bonne quinzaine de minutes.
Vincent BRAJDIC et Cédric HESRY montrèrent ensuite les techniques du Ken Jutsu (antique escrime au sabre de bois) et du Naginata Jutsu, tels qu'enseignés dans l'Ecole KATORI. Précision, dynamisme, engagement total, physique et mental; réalisme des gestes, une belle découverte pour la plupart des présents, tant il est rare de pouvoir observer ce type d'exercice.
Ensuite intervinrent nos pratiquants d'Ozoir. Messieurs Jean-François, Hervé et Sylvain lancèrent la danse en un jiyu waza(applications libres) lisse et sans heurts, sans la moindre hésitation ni erreur, un très beau travail.
Ensuite Maître Sylvain, qui avait préparé nos adolescents à cette prestation, projeta successivement plusieurs d'entre eux; là encore nous pûmes apprécier les qualités d'un aïkidoka extrêmement entraîné, plaçant les techniques avec le même naturel qu'un pêcheur lance sa ligne, toujours dans le temps, toujours bien placé: du grand art.
Puis ce fut le tour des adolescents. Huit jeunes gens entre 9 et 16 ans, en duos, s'appliquèrent à effectuer des techiques de base sur un mode dynamique, après que la plus jeune, Clara, eut projeté Maître Sylvain sur une série de Irimi Nagé que l'on aimerait pouvoir imiter tant ils étaient naturels, spontanés, non forcés, nés dans l'instant...
Nos jeunes pratiquants surent mener à bien la tâche, pas forcément facile, qui leur était échue. Pas d'hésitations, pas ou très peu de faux gestes, une technique déjà sure pour des pratiquants ayant 3 années d'entraînement pour les plus anciens, et seulement 6 mois pour la majorité des présents.
Après avoir esquivé les attaques de deux élèves, l'un au sabre et l'autre au poignard, ceci afin d'illustrer le principe du TAI SABAKI (faire le vide dans l'action), notre professeur Pascal OLIVIER démontra quelques Tantô Dori (défenses sur poignard --- en bois, rassurez-vous) sur Sylvain. Il faudra que l'un d'entre nous se dévoue un jour pour le lui dire: il n'est pas forcément du meilleur aloi de démontrer à chaque occasion des techniques issues de l'Aïkidô Yôseïkandès qu'il se trouve face à un partenaire armé. Chassez le naturel, il revient au galop: ses dix premières années furent abreuvées à cette source, et même si le fer à repasser de l'Ecole UESHIBA passa et repassa sur les pans d'une pratique réapprise plus tard, les plis d'origine demeurent visiblement coriaces. D'autant qu'il en retrouva quelques bribes plus tard chez un maître qu'il allait suivre 25 ans durant, et qui constituait en quelque sorte la charnière entre les deux tendances.
Reposant partenaire et tantô, on pensa un instant qu'il manigançait un coup dont il a le secret. L'oeil pétillant, la mine à moitié réjouie du gars qui prépare un coup, il scruta la ligne des pratiquants assis face à lui, et presque sans hésiter pointa une main en direction d'une jeune pratiquante avec laquelle on lui remarquera un certain air de famille. Mlle. Manon en fut quitte pour une course à l'échalotte, au cours de laquelle elle eut le plaisir de se faire projeter dans toutes les directions sur un mode multi-technique mélangeant waza, kokyû et tout ce qui passait par la tête de son professeur de père. Elle s'acquitta sans faute de son exercice qui la laissa cependant essoufflée.
Pascal nous démontra ensuite une série de Iaï de sa composition. De quoi s'agissait-il au juste? Partant d'une base que l'on peut identifier comme étant une forme défunte de KATORI (celle enseignée par Minoru MOCHIZUKI), l'on entrevoit une évolution vers des formes de mouvements fluides et en adéquation avec la pratique de l'Aïkidô. Au rythme saccadé des Iaï Jutsu démontrés plus avant dans la soirée, répondait le geste ample et dépouillé de cette pratique que l'on pourrait presque appeler Aïki-Iaï. Pour ce faire, notre professeur utilisa un katana dont on ne révélera pas l'âge exact afin d'épargner les âmes sensibles. Le narrateur de la Soirée laissa juste échapper que les spectateurs allaient pouvoir "contempler une antiquité en mouvement... Je ne parle pas du prof, mais du sabre" en guise d'introduction.
Vincent BRAJDIC intervint une nouvelle fois, avec Pascal comme Uké. Ainsi nous furent démontrés, en 12 minutes montre en main, les aspects les plus variés de son Aïki JUTSU, des statiques mouvements de suwari waza (technique à genoux) aux divers dégagements sur saisies et attaques debout, pour évoluer tranquillement vers une pratique plus fluide et terminer en beauté sur des tantô dori (applications sur attaques de poignard) et même une demi-douzaine de kokyû nagé, démontrant ainsi que l'Aïki JUTSU avait résolument vocation à évoluer, lui aussi, vers la sphère infinie...
Raymond BISCH clôtura la Soirée, démontrant à son tour les aspects variés de l'Aïkidô, dans ses mouvements amples et souples. Ce que l'on retiendra de sa pratique, c'est le timing remarquable, et la manière dont il sait à chaque attaque de sabre par exemple venir se placer au centre de l'attaque en en devançant la retombée, pour placer l'éventail dont il s'était saisi à la gorge du partenaire.
NOUS AURONS LE PLAISIR de faire passer prochainement une partie au moins de la démonstration (celle nous concernant) sur You-Tube; le lien sera mentionné sur ce Blog dès que l'opération sera accomplie.
Nous ne pourrons toutefois montrer que la partie qui nous intéresse directement, étant donné qu'il n'est pas pensable de publier des images d'autres personnes qui pourraient estimer qu'elles ne sont pas à leur avantage sur ces images par exemple.
Ecrit par Karl HABRUNY.
Je me nomme Christiana, j'habite RIGGARGATAN 16 D, GALVE ,80286, SWE. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu sur les forums mais cette fois-ci c'est la goute d'eau qui a débordé la vase.
En effet mon homme avec qui j'ai fais 7 années de relation conjugal ou nous avons eu 2 enfants me laissa pour une autre et mieux il se sont installé ensemble, 2 mois sans nouvelles c'est ainsi j'ai parlé de ma situation a ma collègue de service qui me donna le contact du Maitre marabout FAGNON tchetula dès que je l'ai contacter et expliqué ma situation il promis de dormir a tête reposé en 3 jours mon homme est revenu à la maison et très amoureux de moi ...(pour tous vos petit problème de rupture amoureuses ou de divorce ,maladie ,la chance , gagner au jeux de loto , les problèmes liés a votre personnes d'une manière, les maux de ventre, problème d'enfants, problème de blocage, attirance clientèle, problème du travail ou d'une autres) voici le contact du maitre marabout FAGNON tchetula vous pouvez l'appelé directement ou l'ecris sur son wathsaap ou mail , il est joignable .
Wathsapp : 00229 65 73 13 89
E-MAIL: maitrefagnon.tchetula777@hotmail.com
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